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Fat Finger

Terme	Définition
Fat Finger	Fat Finger" est une expression utilisée dans le domaine marketing mobile qui renvoie à l'action de "gros doigts maladroits". Cette méthode peut être responsable d'une grande partie des clics ou taps enregistrés sur les publicités mobiles, et plusieurs études ont conclu que les clics involontaires représenteraient la majorité des clics enregistrés sur les formats display. Par exemple, une étude réalisée pour Bonial en 2016 a montré que 89 % des mobinautes ont déclaré que leurs clics étaient généralement des clics d'erreur, et 57% des participants ont annoncé qu’ils cliquaient systématiquement par erreur sur les bannières publicitaires sur mobile. De même, Retale a révélé qu'environ 60 % des individus déclaraient cliquer généralement par erreur. Ces chiffres montrent à quel point le phénomène du fat finger est important et nécessite une analyse approfondie des données post-clics pour les campagnes display mobiles. Un autre exemple de fat finger provient de l'IKEA Perceptive Banners, une campagne de publicité interactive qui a permis aux clients de choisir l'image qu'ils souhaitaient voir sur leur écran pendant leurs sessions de navigation sur le Web. Lorsque l'utilisateur a placé son doigt sur l'écran tactile, l'image affichée a changé et il a pu sélectionner celle qui lui plaisait le plus. Cependant, si l'utilisateur avait un "gros doigt" et appuyait trop fort, il était possible que la campagne soit comptabilisée comme un tap involontaire, ce qui constituerait un fat finger. Il est important de connaître le terme fat finger car il peut avoir un impact significatif sur les performances des campagnes marketing mobiles. Les annonceurs doivent prendre en compte le fat finger et comprendre comment il influe sur leurs données post-clics afin de s'assurer que les résultats obtenus sont précis et peuvent être utilisés pour optimiser la performance des campagnes à l’avenir. Il est également important pour les annonceurs de comprendre comment le fat finger influence le coût des campagnes et d’adopter des bonnes pratiques pour minimiser ce phénomène. Les acteurs européens qui s’intéressent au sujet du fat finger comprennent notamment Bonial, Retale, IKEA Perceptive Banners et Ourwork. Des experts du monde entier s’impliquent également dans la recherche afin de comprendre ce phénomène et de trouver des solutions pour limiter son impact. Parmi eux, on trouve Catherine Toner, experte en web et marketing mobile, Jean-Luc Pelouze, directeur général chez Bonial France et Harris Grewal, professeur agrégé en technologie à l'Université William & Mary. Il existe différentes bonnes pratiques pour minimiser le phénomène du fat finger telles que la conception d’annonces adaptatives qui prennent en compte le format des appareils mobiles ou encore la création d’interfaces utilisateurs simples et intuitives. Ces techniques permettent aux annonceurs de minimiser le risque de clics involontaires liés aux "gros doigts maladroits" tout en veillant à ce que les consommateurs bénéficient d’expériences satisfaisantes et que les résultats obtenus soient précis. Le coût du fat finger diffère selon chaque campagne et varie en fonction du nombre de clics involontaires enregistrés et de la taille des annonces affichées. Les annonceurs peuvent surveiller ces coûts en comparant les données avant et après clic afin de déterminer si le nombre de conversions réelles est inférieur au nombre total de clics effectués sur une annonce ou un site Web.

Terme

Définition

Fat Finger" est une expression utilisée dans le domaine marketing mobile qui renvoie à l'action de "gros doigts maladroits". Cette méthode peut être responsable d'une grande partie des clics ou taps enregistrés sur les publicités mobiles, et plusieurs études ont conclu que les clics involontaires représenteraient la majorité des clics enregistrés sur les formats display.

Par exemple, une étude réalisée pour Bonial en 2016 a montré que 89 % des mobinautes ont déclaré que leurs clics étaient généralement des clics d'erreur, et 57% des participants ont annoncé qu’ils cliquaient systématiquement par erreur sur les bannières publicitaires sur mobile. De même, Retale a révélé qu'environ 60 % des individus déclaraient cliquer généralement par erreur. Ces chiffres montrent à quel point le phénomène du fat finger est important et nécessite une analyse approfondie des données post-clics pour les campagnes display mobiles.

Un autre exemple de fat finger provient de l'IKEA Perceptive Banners, une campagne de publicité interactive qui a permis aux clients de choisir l'image qu'ils souhaitaient voir sur leur écran pendant leurs sessions de navigation sur le Web. Lorsque l'utilisateur a placé son doigt sur l'écran tactile, l'image affichée a changé et il a pu sélectionner celle qui lui plaisait le plus. Cependant, si l'utilisateur avait un "gros doigt" et appuyait trop fort, il était possible que la campagne soit comptabilisée comme un tap involontaire, ce qui constituerait un fat finger.

Il est important de connaître le terme fat finger car il peut avoir un impact significatif sur les performances des campagnes marketing mobiles. Les annonceurs doivent prendre en compte le fat finger et comprendre comment il influe sur leurs données post-clics afin de s'assurer que les résultats obtenus sont précis et peuvent être utilisés pour optimiser la performance des campagnes à l’avenir. Il est également important pour les annonceurs de comprendre comment le fat finger influence le coût des campagnes et d’adopter des bonnes pratiques pour minimiser ce phénomène.

Les acteurs européens qui s’intéressent au sujet du fat finger comprennent notamment Bonial, Retale, IKEA Perceptive Banners et Ourwork. Des experts du monde entier s’impliquent également dans la recherche afin de comprendre ce phénomène et de trouver des solutions pour limiter son impact. Parmi eux, on trouve Catherine Toner, experte en web et marketing mobile, Jean-Luc Pelouze, directeur général chez Bonial France et Harris Grewal, professeur agrégé en technologie à l'Université William & Mary.

Il existe différentes bonnes pratiques pour minimiser le phénomène du fat finger telles que la conception d’annonces adaptatives qui prennent en compte le format des appareils mobiles ou encore la création d’interfaces utilisateurs simples et intuitives. Ces techniques permettent aux annonceurs de minimiser le risque de clics involontaires liés aux "gros doigts maladroits" tout en veillant à ce que les consommateurs bénéficient d’expériences satisfaisantes et que les résultats obtenus soient précis.

Le coût du fat finger diffère selon chaque campagne et varie en fonction du nombre de clics involontaires enregistrés et de la taille des annonces affichées. Les annonceurs peuvent surveiller ces coûts en comparant les données avant et après clic afin de déterminer si le nombre de conversions réelles est inférieur au nombre total de clics effectués sur une annonce ou un site Web.